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Trailer, skieur, montagnard...

...Bienvenu

Freeski


En ce moment c'est free-ride, plus exactement freeski. C'est en fait une discipline entre le freestyle et le free-ride, empruntant le style du premier et le terrain (moins pentu mais quand même!) de l'autre. Il s'agît d'envoyer des kick(!)
En prévision de la Red Bull Line Catcher j'ai pu aller repérer, en compagnie des skieurs de renom que sont Julien Reinier et Mathieu Imbert, le futur événement qui se tiendra à Vars début janvier.
La photo de présentation montre la pente qu'on a ridé, vu du haut.
clique sur le titre pour d'autres photos.
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BONNE ANNEE SPORTIVE ET BONNE SANTE

La montagne à ski : c'est reparti !


Une semaine de ski de montagne en tarentaise. Froid mais bon... Pour le moral.
La période est à la recup de fin de saison mais celle-ci s'avère active. Hier une Grande Sassiere avec 1900 de dénivelé positif, en faisant la trace... Mais quelle vue au sommet, en particulier le Gd paradis (objectif au printemps. Descente encordés (pas de photo, tp froid!)
La semaine pré Noël ce sera semaine ski de fond. Ça aussi un sport d'enfer (paradisiaque)
quelques photos video.
Qui saurait-il dire à quel animal appartiennent les traces dans la neige?
A suivre...

Dernière course 2009

Ca y est, la saison est finie.
Elle s’est finie sur la Saintélyon, 56ème du nom. C’était un objectif. Depuis un retour en forme aux Templiers j’étais très motivé et confiant. Et pourtant, je n’ai pas tenu la distance !
50 kms aux avant-postes…et 20 kms en marchant. Ils étaient long ceux là !
Je les ai fait pour : pas abandonner, faire un bilan, et puis relativiser en voyant la course se faire, celle des moins de 7h00, de la première fille (Bravo Maud), se rendre compte au ralenti et l’esprit plus alerte de la grandiose organisation…
La première heure je suis à l’aise, je suis en tête de course me sentant en jambes et super confiant. A 2 heures ça va toujours mais des signes de pertes de puissance un peu trop rapides à mon goût me force à me reconcentrer. 2h30, un groupe de 3 se détache, Christophe MALARDE, Philippe RAYMOND, . Je n’arrive pas à raccrocher et leur allure reste semblable à celle du début de course. D’ailleurs Christophe a du continuer fort vu le chrono. Je pense que même si j’avais pu tenir la distance et conserver la même allure qu’Emmanuel GAUD , la victoire lui était inarrachable. Bravo à ce grand trailer breton que j’aime beaucoup dans sa pratique. Je cours longtemps en compagnie d’Emmanuel en 4 et 5ème position. Nous ne disons mots. Il a des crampes, il a l’air comme moi, dans le dur. Mais lui tiendra (2ème à l’arrivée, super !) et moi je perd d’un coup au 50 ème toute énergie nécessaire à tenir un rang. Je n’arque plus ! J’ai froid mais je décide de continuer. Pour ce faire j’emprunte une veste qu’un sympathique coureur de Neuville sur Saône me passe au ravito de Beaunant (Va falloir que je la rende !). C’est à ce ravito que je vois mon ami Ludo POMMERET qui n’est pas non plus à l’aise ce jour. Mais quand on voit la saison qu’il a effectué on ne peut qu’être admiratif.
Alors pourquoi ? Fin de saison sans doute avec une fatigue latente. Peut être pas assez de distance effectuée. En effet je ne suis pas arrivé à faire mon programme théorique prévu.
Tant pis, si c’était facile ça se saurait.
Enfin c’est l’hiver. Rangement des baskets, rando à ski, ski de fond et entraînement à l’envie jusqu’en janvier. Ensuite je remettrai le pied à l’étrier pour préparer le trail de Paris, une course en fait assez similaire pour les qualités requises en tout cas.
A tout bientôt pour sans doute des aventures blanches.

SONDAGE 1 : UN TRAIL EST-IL FORCEMENT EN MONTAGNE?

3 lecteurs de mon blog sur 4 qui ont répondu à ce first sondage disent que la montagne n'est pas le seul support pour une épreuve de trail.

Ce que j'en pense : c'est que j'en fait parti! Je pense pareil. Un trail est pour moi une course avant tout "NATURE", le milieu naturel que propose les terrains montagneux étant cependant le plus attirant, tant dans sa beauté, que dans son ambiance et la rudesse recherchée. Cependant de nombreux trails amènent à la rencontre de paysages fabuleux et d'une nature enchanteresse. La montagne n'est donc pas l'apanage des trailers, mais en tout cas...elle nous gagne, et c'est pas moi qui vous direz le contraire!

Une équipe de copains



LES CHASKIS
(Cliquez sur le titre pour un bonus)

Une équipe de copains avant tout!

un team dit-on. Chez nous c'est un groupe plutôt, un groupe réuni sous l'enseigne de la marque Quechua, l'outdoor pour tous, et qui n'ont que le besoin de vivre leur passion, comme nous tous, sur ce blog ici présents certes. Perso ça fait 6 ans que l'aventure dure. Tant que la passion est là ce sera pour la vie! Comme pour les 12 Chaskis dont 7 présentés ici sur la photo après les championnats du monde à Serre-Che. De droite à Gauche : Sonamgel Sherpa (pas de l'équipe mais un copain); Dominique Nugre;Daicchiri Dawa Sherpa;Martine Templier;Me;Guillaume Lenormand;Ludovic Pommeret;Yves Coupier (manager). Manque ce jour nos 2 réunnionnais de Thierry Chambry et Eric Lacroix, ainsi que Romain Olivier,Martine Volay et Sebastien Talotti.
Sur le podium, côté sportif une certaine démonstration avec 4 Chaskis dans les 4 premiers de ce championnat du monde (pas trop mal quand même!). Bon d'acc y a Thomas pour nous dire que y a encore du boulot...Bravo à lui pour cette belle perf!
A bientôt pour en savoir plus sur cette équipe avec un seul objectif : vivre sa passion.

La séance seuil pour la Sainté?

(clique sur le titre pour d'autres infos...)

Pour la Sainté il va falloir remettre de la vitesse (relative) car ça va aller plus vite que sur les trails qui ont jalonné ma saison. Je fais de moins en moins de seuil, c'est aussi parce que mes objectifs sont sur l'ultra plutôt. Mais là il me semble important de remettre 4 séances à venir. A quoi peuvent elles bien ressembler?
j'ai toujours adapter ce genre de séance à ma pratique, c'est à dire pour des échéances qui sont des courses au delà du marathon. De cette logique je pratique l'extensif plutôt que l'intensif. Pour faire simple je fais moins vite mais le volume de travail est plus grand. l'intensité seuil pour moi est une fourchette d'environ 5 pulsations ; je me retrouve donc dans la fourchette basse. L'effort de la séance est donc plus soutenable mais il faut tenir plus lomgtemps.
Donc 1 fois par semaine, de préférence après la journée de repos je vais faire une séance qui ressemble à :
type de parcours : comme à la Sainté, vallonné, tout type de chemin, plutôt roulant.
echauff. : 20'
corps de séance : 3X 20' rec inter repet = 5' (mais ce peut être aussi 8X8'rir=3')
retour au calme : 15'
analyse de la séance : que ce soit du 3X20 ou du 8X8 ou quoi que ce soit pourvu que les repet soit au mini 7' tu remarque que le volume de travail est d'environ 1h00. Ce qui est pas mal pour du travail de seuil. Mais je vais plus doucement que 90% de ma FCMax. Plutôt vers 87% tout ça est théorique mais c'est pour avoir un ordre d'idée. Cette petite différence (ces 3%) n'est pas si petite. Si tu vas trop vite des la première repet tu seras cramé. Il faut quand même tenir une heure à ce rythme et je rapelle que c'est justement la durée de maintien théorique du seuil et que donc à l'entraînement on ne peux le concevoir de se l'imposer. De toute façon si perso je fais une heure même en extensif je te conseille plutôt de commencer par du volume sur 40' style 2X20 ou 4X10, ce qui est déjà une bonne séance. Ce volume est en fait lié à son degré d'entraînement.
N'hésite pas à intervenir pour donner ton point de vue ou espérience.
A bientôt pour de nouveaux laiüs sur l'entraînement.

SAINTELYON

Ce n'est pas un trail, ce n'est pas une course sur route....C'est la Sainté!
Ma prochaine course

15 ème éditions des Templiers


Et de 5 pour moi. Rares ont fait les 15. Peut être le seul il s’agît de Christian VIGNEAUX. Un excellent trailer, encore très bien classé cette fois.

J’arrive sur cette édition à la fois content d’être là et pas vraiment là. Comment pourrais-je faire bonne figure après une période où l’envie et la forme n’était plus là ? En fait j’ai repris l’entraînement sérieux il y a 3 semaines. Depuis l’UTMB plus trop d’entrain mais quand même 2 courses dont les très beaux « aiguilles rouges » et « Gapen’cîmes », toutes 2 terminées mais loin et fatigué ! 3 semaines ont suffit pour rivaliser, certes loin des tout premiers mais ce fond de forme révélé ici est tellement rassurant. Alors on part, 5h15, j’ai les yeux qui tombent et je pense à l’oreiller plus qu’à taquiner l’cailloux des causses. 3 bornes de goudron et je suis dans l’paquet d’tête. Pas longtemps, des la piste j’ai les jambes fatiguées, ça promet ! pas grave on fini on s’lamente pas, on fait comme les 2 derniers trails. Et ben non, le fait de réduire le pas et le temps passant je me mets à courir le long de l’ancienne voie ferrée sur cette longue partie plate en me disant qu’il faut maintenir l’allure. Ce n’est pas la panacée mais si je reste ainsi je vais bien ramassé les « morts » partis trop vite. Et plus ça va mieux ça va. Une course sans se poser de questions, me fichant du résultat, mais agréable. Jamais souffert, cause de mes muscles, trop peu affutés pour enflammer la machine, mais à la fois je lâche rien. 35 ème à Sauclière, 25 à Dourbie, mi parcours. 18 à Trèves, 14 à Cantobre et …7 à l’arrivée !. Le mieux c’est que j’arrive frais. Bon à part des crampes de partout dans la montée finale mais qui ouf ont disparu juste avant la plongée sur Nant et qui me permît d’en manger encore 2. Vivement la prochaine, le moral est revenu et avec lui le sérieux de l’entraînement.

Côté spectacle j’ai été ébahi par le niveau de la course fille. Jamais je n’ai vu une course aussi relevée. Bientôt arrivera pour moi le temps où le challenge sera d’arriver devant la première.

Les Templiers c’est vraiment un bel événement. Je n’y serais pas l’an prochain car ce sera l’heure de la fête à la Réunion mais vivement dans 2 ans, et là je ferais tout pour avoir les yeux ouverts au départ.

Prochaine course, la Saintélyon, cette épreuve entre trail et route, la doyenne des courses hors stade, 56  ème édition. Rien que pour ça faut y aller m’ssieurs dames.

7 ème édition de l’UTMB



7 participations…4 abandons dont 3 de suites, les 3 dernières !

Bon d’accord ce marasme pour commencer mon récit va faire croire que je n’ai pas encore digérer cet arrêt. Que nenni. C’est un fait c’est tout. Mais c’est vrai aussi que de l’écrire 2 mois après permet plus de recul et moins d’amertume, car en fait…la vie continue.

Le fait est donc que c’est pas une course facile. Je suis toujours subjugué par les finisseurs qui les finissent toutes. Bon c’est vrai on dit que devant on prend plus de risque, on s’met plus de pression, on veut s’préserver pour la saison, ou même on accepte pas un classement « lambda ». A part la dernière raison, c’est vrai que ça peut jouer sur le fait qu’on abandonne plus souvent. Mais surtout je pense que je n’aime pas souffrir ou faire souffrir mon corps (ou mon esprit). Pour moi le sport c’est pas ça. Certes il faut forcer pour réussir, mais forcer n’est pas souffrir. On pourrait philosopher un jour sur cette nuance mais là n’est point la question. Alors cette course, comment ça s’est passé ?

L’avant course pas tant mal. Une bonne prépa, de bonnes sensations, un stress normal, bref présent sur la ligne de départ, en sachant pourquoi ; restait le comment. Dès la promenade sur l’arve pourtant je sentais que le punch n’était pas là. Pas de panique c’est déjà arrivé, et ça c’est déjà bien passé. Je cours avec Elisabeth Hawker. Je continue devant elle le col de Voza. Juste devant, les jambes cassées, l’énergie absente. Elle va ti pas m’doubler quand même. Et ben si. Je pense que notre championne d’anglaise sera même la seule à courir tout le long de la 1ère grimpette ! Malgré une montée pénible, une descente sans grandes sensations je dois être 7 ou 8 à Saint Ger. Je croise, sur le début de l’aller retour ravito, Dawa qui est avec Killian. Tiens, y sont qu’là ! J’croyais déjà être largué. Dans les champs qui suivent, à l’entame de la remontée vers les Conta je double Elizabeth. Un ou 2 p’tits mots histoire de faire croire que je suis sympa et je continu. Scott est par là ainsi que Pascal, notre bombe réunionnaise, petit mais de la dynamite ! Malheureusement notre visiteur des îles, que je mettais perso grand favori (avec Killian) allait se perdre après Courmayeur et abandonner. Je vais mieux, enfin moins pire. Jonction avec Dawa. Je vois bien qu’il a pas le visage habituel. Je repars devant au Conta, 4ème. Puis cela devient normal et la montée du Bonhomme se passe pas trop mal. Et même je me surprends à descendre sur les Chapieux avec du plaisir et du moral et de la pêche. Revirement de situation, la course m’appartient (toute humilité sauvegardée). Je double Scott à mi descente et on blague pas mal tous les 2. Il est vraiment sympa le ricain. Il s’éclate sur cette course. Il participe à la fête et en contribue, dansant dans les prés et yahou yahou de cow boys sur les ravitos. On s’encourage mutuellement et même si l’un veut croquer l’autre je suis content d’être là avec lui. Je le distance et me retrouve donc 2 aux Chapieux où je retrouve mon beauf et la famille pour une aide qui en plus d’un ravito personnalisé est aussi celle du cœur. Je repars vers l’Italie avec 20’ sur Killian qui a pris la poudre d’escampette. Allant sur Ville des Glaciers c’est pas comme dans les grands jours (en plus il fait maintenant bien nuit) mais je ne désespère pas. A posteriori je peux dire ici que c’est le début de la descente aux enfers, celle dont on ne remonte pas. La Seigne, ça saigne. Enfin pas tant : j’ai l’impression que le sang n’arrive plus aux muscles et peut être même plus au cerveau. Un peu quand même, juste pour me dire ç’est rien ça reviendra. Il fait un brouillard à couper à la tronçonneuse ! Je monte à l’allure d’un randonneur qui a des pieds de cochon à la place de ses gels dans son sac. En parlant de ça reviendra v’là ti pas 3 randonneurs plus vivaces qui surgissent à mes côtés. Pas trop de mots, les gens sont concentrés. Les gens c’est Julien, Pascal et Scott. Sur les 3 là un seul arrivera à bon port. Et sur les 3 il y aura le futur vainqueur du Grand raid. Bravo Julien. Comme quoi ça sert d’écrire tard ses CR ; on peut en rajouter dans le texte. Julien justement : « dis voir Vincent, le chemin, il est à droite ou à gauche ? » Ca faisait 3’ que je m’accrochais avec la force du désespoir à leur basque. J’étais 4ème à 5 mètres et lucide comme un éphémère qui traverse l’autoroute du soleil ! « hein quoi Julien ! Je sais pas moi » (je savais déjà plus où était ma droite de ma gauche perso, alors …celle du chemin). Bon, comme j’était l’homme du terrain je me réveille et analyse le terrain. Bon dessous mes pieds une trace, c’est pas le chemin. A droite, rien, de l’autre côté, rien. Bon ben j’pense que c’est à gauche. Quand je pense que je suis passé là 5 fois cette été et bien plus encore depuis le temps. Hasard c’était à droite. On revient, on repart, on se renforce dans l’erreur. On est perdu. Now je suis totally awake (oui je parle aussi anglais car y a Scott). Je m’assoie sur une touffe devant mes 3 compères. Je décide un flanc droit en diagonale montante légère. Je crie plusieurs fois « ohé le col », enfin on répond ! sauvés. 15’ je pense dans la musette mais franchement content(s) de retrouver le chemin. On retrouve là mon ami Hervé (qui finira 9, chapeau) et le Jap Tsuyoshi. Seb est là aussi. Je prends les devants, connaissant le chemin par cœur ! Oui mais là je suis concentré. On sort du coton vers Elisabetta et là je retombe dans ma torpeur. Les jambes sont ruinées, l’energie repartie et quand même il faut bien le dire la désillusion bien présente. J’ai du mal à descendre sur Combal. Au ravito mes amis et autres bénévoles italiens du stand voit bien mon désarroi et ma mine déconfite. J’en plaisante quand même mais la gorge est nouée. Je regarde le coureur venu de soleil levant qui se change avec l’aide de son assistance, du caméraman. J’ai l’impression d’assister à un change d’un sprint en triathlon. Mais pourquoi s’excite-t-il ainsi. Et bien j’aurais mieux fait de faire pareil car le coco il arrivera 3 à Cham. Bravo.

Pour ma part on me dit : « alors t’abandonne ? » Y a une navette si tu veux. » En fait j’en avais pas l’intention encore ! J’avais tant l’air que ça ? Non, dis-je « je repars » Et me voilà reparti dans un tout autre esprit, celui de terminer. Au bout de 3’ je regrette déjà. Au bout de la plaine (qui est longue en marchant) je m’arête devant le panneau du Mont Favre. Mains sur les genoux, tête vide, le cœur absent à l’ouvrage, le moral dans les chaussettes, je me dis alors : STOP .

La nuit même avant de me retrouver avec Morphée je me dis que le sport c’est fini. Le lendemain au réveil je me dis que l’UTMB c’est fini, et la journée, voyant ces arrivées, ces joies, quelques autres peines…que l’année prochaine je serais de la partie.

Puissiez vous vous aussi en faire partie.

dernier entraînement sérieux avant UTMB 2009


ASCENSION DU VIEUX CHAILLOL

Samedi 22 août, 6 jours avant le jour J de l'année, je monte ce matin ce 3163m du Champsaur que l'on voit dominer la région depuis Gap.
Très bonne sensation sur ce 1600 de déniv sur 7,7 kil. 1h38 sans vraiment forcer.
Le fameux champion de ski de fond originaire de la région, Stéphane Passeron a quand même un record à 1h20 pour cette ascension. Pourquoi pas tenter de s'en rapprocher l'an prochain? Cette montagne est vraiment sympa, très minérale et avec en prime une vue magnifique.

Traversée des arêtes de La Meije












Une course chargée d'histoire, complète, magnifique, à faire.

Ce mardi et mercredi entre la Grave, le Promontoire et l'Aigle, nous avons passé avec mon compagnon de cordée 2 journées de toute beauté.





Le tour du Mont-Blanc en courant...


Juillet fut le mois du manège autour du toit de l'Europe (pardon pour l'Elbrouz).

Pas moins de 4 reco en 4 étapes chacune. L'occasion de faire du volume. De se faire plaisir et de partager son expérience  plusieurs surtout. A chaque fois m'accompagnaient une dizaine de néo à "pro" trailers qui ont bientôt un autre tour à accomplir, avec le dossard cette fois ci.
Pour ma part ce sera donc le 5ème. J'espère être donc bien échauffé.


a bientôt le 28 août, 18h30 sur la place du traingle de l'Amitié à Cham. Et partout ailleurs autour de la taupinière.

J'ouvre ce blog...

C'est parti pour vous faire découvrir et partager ma passion, version plutôt sportive, de la montagne.